Fic: journal d'un chasseur de monstres

Journal d’un chasseur de monstre

Chapitre premier : LE HÉROS FÉLIN
Dans ma chambre mon vieux lit trop court pour moi croulait sous un tas de vieille ferraille dont mon katana de fer et mon armure en peau de Blango, de drôles de singes blanc venant montagnes enneigées, cousue à la main par le grand et célèbre armurier du village de Pokke elle me donnait l’apparence d’un clown. Mon animal de compagnie, un Felyne teinté de rouge et parsemé de blanc, essayait de manier un morceau de bois d’où une boule de pierre était pendue, attaché par une chaine de fer. Sa physionomie et son caractère de chats lui donnaient un air amusant mais il parlait et marchait comme un humain. Moi, encore entrain d’examiner l’écaille trouvée un jour auparavant sur le sol infertile de la haute montagne de Pokke, me demandais de quel monstre provenait celle-ci. Elle était argentée et les fébriles rayons de lune se reflétaient sur son enveloppe dure comme le métal mais lisse comme la peau. Je déposais soigneusement mon armure dans mon coffre lorsque, j’entendis un vacarme provenant de la cuisine. J’ordonnai à mon Felyne de ne pas bouger. Je pris mon katana, et rangeai soigneusement l’écaille dans un petit coffret que je posai sous mon lit. Je serrais durement le manche de mon katana a deux main et entreprit d’ouvrir la porte. Je poussai la porte d’un coup de pied et la lune éclairait légèrement un Felyne noir comme la nuit, qui visiblement devait chercher à manger, car il entamait la un sushi-poisson que j’avais péché a l’aube lorsque les autres personnes dorment encore, un chasseur part chasser ou pêcher très tôt. Il me regarda et me dit :
- Au mille excuse messire, je voulais point vous dérobez votre nourriture, mais il y a des jours de cela que je n’ai pas mangé un repas.
Méfiant je m’approchais de lui en prenant garde de regarder autour de moi.
- Ha oui, pourquoi devrais-je te croire ? Racontez-moi sa en détail, petit voleur. lui exclamai-je avec une pointe d’amertume non dissimulée.
Il me racontât alors une histoire farfelue, ou il avait préparé une omelette pour deux chasseurs affamés avec un œuf de wyverne. Il me dit aussi avec honneur, qu’il avait été pourchassé par un couple d’un Rathalos et d’une Rathian pendant 3 jours interminables, il aurait erré dans la jungle en mangeant des insectes ou des herbes. Il entamait alors la partie de son retour à Pokke lorsqu’il commença a bégayait et a avoir le souffle court.
Pour le rassurer je lui exprimai calmement :
- Calme- toi, respire maintenant raconte moi sa plus doucement.
- Nya, oui je vais essayer. J’étais sur mes gardes, je grimpais le Mont de glaces et j’arrivais a l’entrée de la grotte aux cristaux glacés, je ramassais quelques cristaux quand un é…én….né…norme ti…ti...gr...r…rex jaune et bleu détruit la paroi en cristaux et essaye de me croquer entier alors je me mets à courir et j’arrive dans une impasse, je cherche dans tout les recoins une cachette, ou un passage, et j’aperçois alors un rayon du soleil traversent un tas de neige et de cailloux, je me précipite alors tête en avant, et je saute vers l’ouverture, et là, arrive dans une plaine enneigée. Le tigrex ne me suis plus, mais je me cache derrière un rocher présent au centrer de la plaine. C’est alors quand je m’assoupis quelques minutes que j’entends un cri j’ouvre les yeux mais, je sens un énorme choc et brutalement je me retrouve dans un profond sommeil, a mon réveil je suis dépouiller de mes affaires et de mes rations, ma peau couverte de poil en proie aux morsures du vent et aux intempéries toujours incertaines a cette hauteur. Je veux me lever mais j’en suis incapable je suis comme paralysé et je sens des douleurs sur tout mon corps, tel des coups de bâton. C’est alors que je vois passé un jeune kelbi surement délaissé par sa tribu ou surement perdu qui passe à quelques dizaine de mètres de moi et j’essaye de me lever a nouveau et mon corps régi peux a peux et j’arrive bientôt a me lever je me faufile derrière un gros rocher et attends que ma proie soit a une distance raisonnable et j’entreprend de me fabriqué une arme grâce a une pierre et des lierres qui grimpaient le long du mur, et me faufile en rampant dans l’épaisse couche de neige. C’est a ce moment que le kelbi passe a quelques pouces de ma tête et que tel un chasseur enragé je lui abats mon arme sur la tête, il crie et s’effondre. Grace a sa viande je me revigore, avec sa peau je me fabrique une armure de fortune, mais je dois me dépêcher et prend des restes comme ration. Je passe la nuit caché derrière un rocher que j’ai recouvert de neige et de lierre. A l’aube j’entreprends de descendre au village et je me retrouve dans la vallée venteuse face a cinq gros et féroces gyapreys qui m’observent avars, ils m’observent et lancent des petits cris aigus, et me fondent dessus. Alors moi ne sachant que faire fait tourner ma pierre attachée a des lianes et abat mon arme sur 3 gyapreys et les deux autres me tournent autour et je décide d’adopter une technique, j’effectue une roulade dans les règles de l’art Nya, les gyapreys se retournent surpris vers moi et j’envoie ma pierre sur un gyapreys qui atterrit sur un autre et croulant sous le poids de son confrère le seul survivant ne peux plus bouger, je décide de lui attacher des lianes autour du cou et de l’attacher a un cadavre de ses congénère mort lorsque je lui ai fièrement abattu mon arme sur le dessus. Je dévore le peu de viande qui est sur leur corps reptilien et je m’assis sur le gyaprey vivent qui dormait tel un Kezhu en hiver. Il se réveil et crie je serre les liens, je crie sur lui comme le font les chevaliers de la guilde et je détache le cadavre qui le retenait au sol, il se lève en un bond impressionnant mais je ne lâche pas prise et tien position sur son dos s’est a se moment que je lui frappe sur le côté avec mes pieds et lui crie de s’arrêter il se stop, je tire les liens pour le guider vers le chemin qui mène au village, il galope tel un éclaire et nous arrivons bientôt au village et je saute de son dos et envoie un morceau de viande plus loin, lui cours vers cette récompense. Le village n’est pas très loin je ne fais pas une heure pour y arriver et la je vois votre maison et comme il n’y a pas de lumière je pensais que vous dormiez et que je pouvais dévorer quelques petits poissons ou d’autres rations. Voila c’est mon histoire et je vous jure sur ma vie que c’est la vérité.
- Ho mais je vous crois hum…quel est votre nom ? Sans vouloir être indiscret
- Je vous dérobe de quoi me rassasié sans vous en demander permission, et je ne me présente même pas, veuillez m’excuser pour mon impolitesse. Mon nom est Kayl.
Passant ma main dans les cheveux je lui répondis.
- Ne t’inquiète pas je te permets de prendre autant de nourriture que tu veux, vu les périples que tu as encouru Kayl, si tu me permets de te tutoyer, tu peux te permettre un repas décent et je vais te prêter des vêtements de mon Felyne, il s’appelle Strum et moi mon nom est Lonne.
- Je n’en mérite pas tant mais milles merci si quelqu’un qui ne serrait qu’un simple d’esprit ne pourrais me comprendre et me croire. Mais en preuve de ce que j’ai accomplit j’ai plusieurs objets, comme mon arme dont la pierre et couverte de sang mon armure de fortune en peau de kelbi et aussi des écailles de gyapreys.
- Pas besoin de me montrer tout sa je te l’ai dit je te crois d’ailleurs je vais appeler mon Felyne. Strum vient ici j’ai besoin que tu viennes m’aider, apporte un des tes costumes et une boite a plantes médicinales de secoure.
Mon petit animale arriva au pas de course et dit vous êtes blessé maitre rien de casser. Son regard se dirigea vers le Felyne habillé comme un barbare. Ho mais qui êtes vous, seriez vous un Felyne guerrier je rêve d’en croisé un pour qu’il m’enseigne son art.
- Ha moi non, je suis un chef cuisinier et j’ai du survivre sans aucun équipement dans la cruel nature ! répondit celui-ci fièrement. C’est notamment pour cela que j’ai du me faire une armes et une armure avec les moyens les plus simplistes, avec de la peau, des pierres et du lierre, mais je ne veux plus en parler j’en suis tout bouleversé.
Je proposai a notre nouvel ami de dormir avec nous et non mécontent il accepte, je lui prépare un lit avec des manteaux de fourrure et je lui posais plusieurs bandes de tissus humidifiées a l’extrait de felvyne une plante médicinale qu’adorent les felynes c’est d’ailleurs de la que vient son nom. Kail s’installe et dévore une assiette de poisson cuit.


Chapitre second : LA BÊTE MITIQUE


Après une douce nuit je me levai de bonne humeur et tournais mon regard vers les deux Felynes côtes à côtes qui dormaient encore. Je m’habillai et j’enfilais mon armure et pris mon katana, sortant de mon antre je failli me faire enterrer sous un tas de neige tombant du ciel, je regardais vers le haut et un habitant du village nettoyais le toit, je le salut, et entrepris de chercher une quête chez la chef du village.
Il est vrai que ma vie ne fut pas toujours simple, j’avais 8 ans quand mon père mourut d’une une intoxication en disséquant la poche poison d’un gypcéros, pris de chagrins et de remords pour l’avoir laissé partir a la chasse, ma mère devenue folle se résigna a sauté depuis le haut de la montagne enneigée. Je me fis hébergé par un marchand d’armes, et maintenant que j’ai dix-huit ans je peux vivre seul et mon père adoptif ne travail plus il est trop âgé. A seize ans déjà je montrais une passion et du talent inévitable pour la chasse. Je maniais les armes tel les chasseurs expérimentés et j’état vif comme le vent d’hiver, on lisait tout de suite sur mes yeux la détermination et le courage. Je chassais déjà des tributs de gyaprey ou de vélocipreys, très présent dans la région. Leur chef ne faisait pas le poids très longtemps face à ma détermination, j’étais un chasseur jeune et fort. Je sortais de chez moi quand la vieille chef du village, une wyvernienne aux grandes oreilles, vint vers moi, elle était petite et son visage ridé et marqué par l’émotion:
- Lonne ! J’ai une quête urgente que tu dois faire pour moi.
- A oui je venais justement pour sa, qu’elle est donc cette quête pour vous mettre dans cette état ?
- Un Kushala-daora est apparut dans les sommets enneigée. J’y ai…
- Mais je n’ai pas le niveau c’est un dragon ancien ! Vous n’êtes pas…
- Laisse moi finir veux tu ? J’y ais envoyer un espion, il est en phase d’hibernation et bientôt il va perdre sa peau et il se réveillera, tu as un mois pour te préparer à te battre contre lui, les autres chasseurs sont trop occupé ou ils ont trop peur mais toi tu es fort et brave tu peu le faire. Pour commencer tu vas chasser un Kezhu et grâce aux composants que tu vas récolter sur lui tu pourras améliorer ton katana pour lui attacher un attribut de foudre utile contre le Kushala-daora. me réprima celle-ci.
- A oui ? demandais-je étonné. On peut mettre des attributs sur les armes c’est fantastique, merci je vais chercher mes felynes et je pars.
- Très bien mais pense à prendre de la nourriture, il est coriace. Et bonne chance, je me sens faible je vais me coucher.
Sur ce je me retirais encore pensif et surtout peux sure de moi, c’étais surement la première fois que je ne pensais pas qu’a foncé et frapper, là il fallait une technique pour pouvoir réussir à battre ce dragon de mites et légendes. Je rentrais dans ma maison quand je vis mes deux amis felynes entrain de mijoter des plats immenses dans la cuisine, je jubilais d’avance face au festin qui m’attendait :
- Tout cela est pour moi ? Ha je mourais de faim, merci et je dois vous informez que dés que l’on aura mange on part chasser un Kezhu pour que j’améliore mon arme.
- Nya vous êtes content ? me répondirent t-ils en cœur. Nous partons donc nous battre mais nos équipement sont laissâtes à désiré maître.
- Ne vous inquiétez pas je vais vous en acheter chez l’armurier du village, vous aurez chacun une épée, un bouclier et une armure. Content de moi, je sortis achetez des équipements a l’armurerie. Lorsque j’arrivais l’armurier ajustait des décorations sur une magnifique armure dorée, des lignes rouges étaient tracées tout le long de l’armure. Le casque magnifique était orné d’une décoration magnifique donnant à la personne portant le casque l’effet d’être un commandant de l’armée ou un empereur d’une grande légion. Admiratif devant cette merveille, je fus brusquement interrompu par l’armurier qui m’interpella :
- Bonjour je peux vous aider ? Je vois que vous êtes bouche bée devant cette armure. Moi-même je suis étonné de ce résultat, mais enfin.
- Oui elle est magnifique, à partir de quel monstre l’avez-vous composé ? Heu je voudrais, alors, deux armures, deux épées et deux boucliers pour Felyne, la meilleure qualité que vous possédez.
- Alors sa fera sept-milles zennies. Elle est faite en Kushala-daora, un valeureux guerrier en a abattu un dans la jungle. Ces temps si ils doivent hibernés mais celui la était différent, il était brun, comme la rouille. me renseigna-t-il pensif
- Ha bon ! Intéressant un Kushala-daora brun comme la rouille. A voila, les sept-milles zennies, et merci et espérons a bientôt. lui répondis-je intrigué. Je pris les équipements et je sortis, lorsque je marchais vers la maison je pensais sur ce qu’il pourrait arriver si le Kushala-daora serait plus fort que moi. Je rentrais dans ma maison et je posais les équipements sur le sol, j’appelais les deux chats pour les leurs montrer. Magnifiques maître ! Vous avez du utiliser des milliers de zennies pour nous, pas besoin d’en faire autant !
- Quitte à affronter un dragon ancien, mieux vaux partir bien équipé pour ne pas tomber dans un profond sommeil à chaque coup de queue.
Ravis de leurs équipements les deux felynes m’invitèrent à m’assoir pour manger leur divin festin, dont l’odeur qui s’en échappait ferait tomber sur un nuage même les plus difficiles gourmets. Je me servis une assiette, et dégustais longuement cette merveilleuse pitance. Je dévorais ma cinquième assiette quand je sentis que je ne pouvais plus rien ingurgiter.

et voila la suite:

Chapitre Troisième : CHASSE AU MONSTRE


Je me décidais à partir et interpellai mes compagnons félins:
- Mes amis nous allons de ce pas chasser le Kezhu enfilez vos armures nous partons.
Ils revêtirent leurs armure et prirent leurs armes et me suivirent, dehors l’aube pointait son nez et je partis en direction de la maison de la chef du village. J’arrivais a l’entrée et je frappais a la porte. J’entendis un bruit de pas distinct comme des talons. C’est alors que la femme de ménage ouvrit la porte et murmura :
- Madame dors, elle ma dis de que vous deviez allez a cette emplacement de la carte pour chassez le Kezhu.
Elle déroula alors un long parchemin ou était représentée la jungle. Elle survola la carte de son doigt :
- Le Kezhu est là. désignât- elle en nous montrant une grotte au nord de la jungle. Faites attention il peut s’accrocher au plafond rocheux es grottes et il peut pomper de l’électricité dans le sol grâce a sa queue et la rejeter par sa grande bouche béante, il est aveugle mais son odorat est extrêmement développé, il sent ses victimes a des centaines de mètres.
Sur ce elle nous donna la carte, une liste des composant qu’il me fallait récupérer sur la carcasse et nous offris la possibilité de prendre un cheval et deux poneys pour notre périlleuse mission.
Je m’en fus jusqu'à l’écurie de la guilde et choisi leur plus robuste étalon et le montas facilement, mes deux chats prirent deux poneys pour pouvoir aller jusqu'à la danse jungle.
Nous partîmes dés nos provisions faîtes et nos équipements préparés. La jungle était à 3 jours de marche à pied et 1 jour à cheval. Nous n’eûmes aucune encombre sur notre chemin nous en étions a une demie journée de marche et nous approchions de la jungle, nous passâmes dans un petit village du nom de Kokoto, nous y avons refais le plein de provision et nous nous y sommes reposés quelques heures et désaltérâmes nos chevaux. Nous sommes repartis après trois heures de repos et nous repartîmes en direction du repère du Kezhu. Après une dizaine d’heure de marche nos chevaux fatiguaient, mais nous arrivions a l’orée de a jungle. Il faisait jours et il devait être cinq heures. Nous cherchâmes un endroit où établir un camp de base, quand nous tombâmes sur deux chasseurs, avec qui nous marchâmes un peu de temps et qui nous invitèrent à leur camp de base. Nous acceptâmes et nous partageâmes nos provisions et quelques autres objets et je leur déclarais alors notre départ:
- Nous devons nous en aller, nous reviendrons surement à la tombée de la nuit, nous avons un Kezhu à chasser.
- Ha oui vous aussi, nous avons été chargés de chassé un Kezhu dans une grotte par la guilde de Kokoto. Si nous le chassions ensemble ?
- Cela ne me dérangerais point mes deux felynes resteront s’occupé du camp pendant que nous chassons cet horrible monstre.
Mes Felynes acquiescèrent alors joyeux de ne pas devoir se battre et déclarèrent qu’ils allaient préparer le repas de se soir. Nous partîmes sur le champ et nous marchâmes une demi-heure et nous vîmes alors l’entrée de la grotte. Elle était sombre et lugubre, rien qu’en voyant cette affreuse image, des frissons me parcoururent l’échine me faisant me courbé légèrement. Les deux autres chasseurs Skull et Cristal me regardèrent étrangement, et me rassurèrent en me rappellent que la grotte n’était pas dangereuse, par rapport au Kezhu.
Pas tellement rassuré j’admirais la bravoure des deux chasseurs qui m’accompagnaient. Skull était assez grand et musclé, ces cheveux noirs formaient une chute sur son dos, il portait une armure rouge sang dont les composants avaient étés d’après lui extraits sur un Rathalos, qu’il aurait abattu fièrement. Son arme était une grande épée lourde en fer qu’il nommait ‘’la découpeuse’’. Cristal, vu quelle était une femme, n’était pas aussi imposante que son compagnon, ses cheveux blonds et longs contrastaient avec ses yeux bleu, elle abordait une armure verte ressemblant a une somptueuse robe qui d’après elle était en Rathian, la femelle du Rathalos. Ses armes étaient deux petites épées en en Ceanataur-shogun, elle les nommait fièrement ‘’les trancheuses’’.



Chapitre Quatrième: L’HORRIBLE MONSTRE



Nous entrâmes prudents en dégainant nos armes. J’entendis distinctement des bruits de pas et des grognements, je reçu un amas de petites pierres sur mon casque, produisant de petits bruits de choc. Je regardais au plafond et je vis un monstre blanc accroché grâce a des petites ventouses situées sur le bout des ses ailes, sur le bout de sa queue et sur ses immondes pattes. Je laissais échappé un cri d’effroi et mes compagnons sortirent leurs armes et me demandèrent se qui se passait. Hésitant je leur décrivais la situation :
- Le Kezhu il est accroché au plafond ! Il peut nous fondre dessus à tout moment, il faut nous mettre a l’abri.
- Ha il est juste au plafond ne t’inquiète pas je vais lui tirer une pierre dessus pour le faire tomber. me répondit Cristal tout en me réprimant un clin d’œil, ce qui rendu Skull rouge de jalousie. Il nous interpella et lança sarcastiquement :
- Attend je le ferais très volontiers, ne vas pas te blesser stupidement au bras.
Il ramassa une pierre grande comme un poing et la lança aussi fort qu’il pouvait. La pierre partit à une vitesse astronomique et arriva sur le dos dus Kezhu le faisant lâcher prise et retomber sur le sol dur et humide. La bête se réveilla dans la douleur et se releva énervé, des éclairs entouraient son enveloppe corporelle et semblaient lui traverser l’échine. Son visage était constitué d’une grosse bouche béante qui ressemblait à une cicatrice et deux petites narines, il n’avait pas d’yeux, mais il avait un très bon flair et pouvait flairer ses proies à plusieurs dizaines de mètres. Le monstre laissa s’écoulé de sa bouche béante un liquide visqueux qui au contacte du sol provoquait de la fumée et sortit un cri qui me perça les tympans, Skull resta impassible grâce a son armure qui le protège des bruits externes, cristal elle se courba en deux sous le poids de la douleur. Le Kezhu colla sa queue au sol et remonta sa tète vers le plafond et fit sortir de sa bouche des boules d’éclairs qu’il t’enta de nous envoyer dessus. J’esquivais sans peine cette attaque et courais vers lui en dégainant mon katana, je me plaçais derrière lui et j’abattis mon arme sur la bête. Mon arme lui lacera avec peine la peau, il se retourna me fouettant avec sa queue et me faisant basculer, il tenta de me charger dessus, je sautais de côté et me retrouvais à plat ventre sur le sol. Skull et Cristal frappaient le wyverne et esquivaient ses attaques sans peines, leurs armes ne ricochaient point sur la peau rigide et immonde de celui-ci. Je repris mon katana et fondit sur le monstre je lui assainis un coup latéralement et suivit l’exemple de mes camarades et fis une petite roulade sur le côté quand celui-ci voulut me mordre d’un coup avec sa bouche béante, plutôt satisfait je continuais d’utilisé cette technique quand le Kezhu s’énerva et pompa une énergie fantastique du sol et la fit sortir sous forme d’éclairs je tentais de lui lacérer la peau le plus profondément possible quand je sentit une vive douleur me traversé le corps me paralysant partiellement, je vis alors l’immonde bête me fondre dessus, je crus alors que j’allais mourir quand Skull abattit la lame de son épée sur le Kezhu lorsque celui si allait me retomber dessus depuis sa charge aérienne. Le monstre fut renvoyé contre un mur et tomba lourdement sur le sol. Cristal accourue affolée vers moi et m’aida à me relever, elle me prit dans ses bras rassurée, et visiblement Skull n’en était pas ravi. Il continua de frapper la bête immonde de plus en plus rageusement. Je me levis, pris mon katana et accouru le plus vite possible aider mon compagnon, j’abattis mon arme sur la tête du monstre lacérant son visage de son nez jusqu'à sa bouche béante. Cristal vive, commençait un enchainement et Skull concentré sur son arme faisais apparaître un aura rouge autour de sa grosse épée. Il cria soudain :
- Écartez-vous je vais lui donnez le coup fatal !
Cristal effectua une roulade de côté et moi une esquive basique en retrait vers l’arrière.
Un flux d’énergie orange teinté de rouge traversa la lame pour allez ensuite frapper le Kezhu. La bête retomba morte sur le côté d’un cri effroyable.
Je rengainai mon arme et m’approchai du monstre. Avec mes amis chasseurs nous nous mîmes d’accord pour partager le corps de façon équitable, je prenais de quoi améliorer mon arme et de la peau et eux gardaient le reste. Je rentrais au camp et rangeais mes affaires quand mes deux cuisiniez felynes nous prièrent de nous assoir et de manger. Pendant le repas les sujets de conversation étaient très variés et nous entamions à peine celui des armes utiles que je me jetais littéralement sur Skull pour lui demander comment avait il abattu une énergie aussi puissant avec son arme. Il me répondit simplement que :
- Quand tu sauras manier ton épée et que celle si trouvera que tu a fais tes preuves tu sauras fusionner ton énergie avec celle si et crée une attaque dévastatrice, mais cette attaque ne sera pas simple a utiliser et diffère en fonction de l’arme, cette attaque s’appelle ; vague d’énergie.
Content de cette réponse je me replongeais dans mon repas plein de d’idée de techniques ravageuses pour achever les wyvernes.


Chapitre Cinquième : NOUVEL ÉQUIPEMENT

Après avoir dégusté notre repas et retravailler nos techniques de combats, moi et mes compagnons nous repartîmes en direction du village de Kokoto ou je devais recevoir ma prime de quinze mille zennies sur la mort du Kezhu.
[…]
- Et voila votre récompense. Je voudrais seulement vous poser une dernière question. Le Kezhu était-il blanc ou rouge ? Car dans mon registre il n’y a aucune information sur lui. me demanda le maître de la guilde
- Hum, il était blanc et plutôt lent mais puissant. lui répondis-je embarrassé
- Et voila qui m’aide, merci brave jeune homme.
Après avoir tout les trois pris notre prime nous nous dîmes au revoir, non sans nous promettre mutuellement de nous réunir a nouveaux pour partir chasser.
- Adieux Lonne, mais est-tu sûre de ne pas vouloir rester encore un jour au village, je pourrais te trouver quelqu’un qui t’offre un toit et a manger. me proposa Cristal
- Rien ne me ferais plus plaisir mais je dois partir je dois aller parfaire mon entrainement là-bas au village. Mais je suis sûre que l’on se reverra un jour ou l’autre.
- Et bien comme tu voudras, si un jour tu reviens dans notre petit village, je vis au dessus du boucher et Cristal dans la petites maison a l’entrée du village. Me dis Skull
Me laissant partir l’air triste, mes compagnons de chasse d’un jour rentrèrent chez eux chacun de leur côté.
Moi et mes deux compagnons félins mîmes un jour pour atteindre le petit village de Pokke. Quand la chef du village me vit arriver elle laissa échapper un sourire de satisfaction.
- Lonne tu as réussi, je le savais. Haha, as-tu pris les composants sur le Kezhu ?
Je lui montrai tout les composants que j’avais récoltés et elle y vérifia que la liste était bien complète.
- Très bien, tu les a tous c’est fantastique tu vas pouvoir parfaire ton entrainement. Je suis fière de toi. Alors voila des minerais rares qu’il te faut pour ton arme, vas au forgeron et demande-lui d’améliorer ton katana de fer avec ses composant et grâce a la peau du Kezhu tu pourras te faire une armure, pour cela vas a l’armurier. Surtout n’oublie pas de dire que c’est urgent et que je t’ai dis d’y aller.
J’acquiesçai et me dépêchai d’aller jusqu’au forgeron pour lui donner mes composants et mon arme. Je déposai tout le nécessaire sur la table et interpellai le forgeront sans oublier de lui dire que c’était urgent, que je venais de la part de la chef et celui si me dit qu’il aurait finit tout sa le soir :
- Vu le travail a effectué la dessus tu pourras passer le chercher vers la fin de la journée. Sa te coutera huit mille cinq cents zennies.
J’approuvai et passai chez l’armurier pour lui mander la fabrication de mon armure.
Celui-ci me répondit clairement que l’armure ne serait prête qu’a la fin de la journée. Il me regarda et me demanda :
- Je te fais une offre de quelle couleur veut-tu ton armure, je t’offre la teinte, personnellement je trouve qu’un noir et rouge elle t’irait parfaitement. Même les wyvernes se méfieront.
- He bien si vous me dîtes que en noir et rouge sa m’irais à merveille je vous fais confiance. Combien je vous dois ?
- Nous n’encaissons que quand les armures sont finîtes et emportées pas leur propriétaire.
- Bon alors, je vous dis au revoir et à bientôt.
- Oui, adieux. me dit l’armurier souriant et enthousiaste.
Je retournai jusqu'à ma demeure pour m’y reposer quelques instants. J’entrai et me couchai sur mon lit. Je ne dormais point, je m’imaginais en combat contre les monstres les plus puissants à utiliser la vague d’énergie. Je restai sur mon lit et m’endormi.
- Nya maître, réveille-toi maître.
Je fus sorti de mon sommeil brutalement par un liquide frais, qui avait été projeté sur mon visage.
- Qui m’a envoyé de l’eau sur la figure ? je vis alors Kayl avec un récipient de verre dans la main
- Désolé maître mais j’étais obligé. Vous ne vouliez pas vous lever, et vous devez aller chercher vos nouveaux équipements.
J’acquiesçais et regardais par la fenêtre quand je vis que le soleil se couchait et que la nuit pointais son nez. Je sorti a toute vitesse et courut jusqu'au forgeron pour y aller chercher ma nouvelle arme. J’arrivais et réclamais mon arme au forgeron quand celui-là me donna un fin katana en plusieurs métaux légers et dont la lame forgée teinté de noir luisait telle la lune. Rangé dans son fourreau en sécurité, je remerciai le forgeron et me dépêchai de rejoindre l’armurerie. J’entrais en faisant claquer la porte. Je cherchai du regard l’armurier et le vît en plein cirage d’armure.
Je me dirigeai vers l’exposition d’armure et l’interpellai. Il me salua et se dépêcha d’aller chercher mon armure qu’il déposa en vrac sur le balcon :
- La voila, en peau de Kezhu blanc teinté en noir, remarquez les rainures sont rouges vives. Son style est unique et donne un aspect sombre et mystérieux.
- Parfait combien je vous dois. Lui répondis-je
- Ha…voyons voir. Alors sa fera vingt-mille zennies.
- Ce n’est pas donné. Mais bon, les voilas. soulagé de l’avoir récupéré, je pris l’armure et retournai chez moi en but de l’essayez. Je rentrai et m’enfermai dans la sal de bain. J’enfilai l’armure. Elle était confortable et douce. Le casque ressemblait a un bonnet allongé, étrangement on ne voyait plus le visage de Lonne quand il le portait. La cotte s’ajustait au corps, une fraicheur semblait s’y émaner, une cape y était accrochée. Des plaques et des haillons de métaux étaient assemblés sous les morceaux de cuir de Kezhu. Les avant-bras formés de plaque de métal dur assemblés à du cuire et des os de Kezhu, s’ajustaient parfaitement aux doigts. La tassette était de même en cuire, os et métaux dur et formait une protection pour les parties sensibles. Les cuissardes constituées de métaux rares et d’os, étaient juste au corps et couvertes de cuir de Kezhu, des plaquettes de métal y étaient accroché comme décoration. Je sorti ma nouvelle arme de son fourreau. Sa lame noir luisait et reflétait la lumière, le manche bleu était décoré par un ruban violet enroulé. Je le rangeais et accroché son fourreau a mon dos avec une lanière de cuir.

encore la suite:

Chapitre Sixième : UNE ÉCAILLE RARE

- Je me rendis chez la chef du village. Je frappai à la porte et la vieille chef m’ouvrît dans une joyeuse exclamation.
- Lonne ! Quelle armure spectaculaire, magnifique. Et as-tu ta nouvelle arme?
Je lui pointai du doigt le fourreau en acquiescent de la tête.
- Très bien, l’entrainement va pouvoir débuter. Va à l’école d’entrainement à l’est de la guilde.
Sur se elle me complimenta et claqua la porte.
Je me dirigeai jusqu'à l’école et pénétrai dans le hall d’entrée. Quand un homme en armure noir m’interpella :
- Ha tu dois être Lonne, je suis ton nouvel enseignant. Je m’appelle Mick.
- Enchanté, la chef du village ma dit de venir ici pour mon entrainement.
- Oui, suit moi, je vais ton montrer l’arène ou tu vas te battre.
- Me battre ? Contre quel wyverne ?
- Tu sauras bien assez tôt.
J’acceptai sa proposition et le suivi jusqu'à une grande porte d’où débouchai un couloir en pierre étroit. Nous longeâmes-se couloir et arrivâmes a un camp entouré par de grandes herses de fer.
- Voila le camp ici on est en sécurité et on peu se reposer si besoin est.
Je survolais à peine le camp des yeux que mon nouvel enseignant m’interpelle pour que nous continuions jusqu’à l’arène.
Il dut ouvrir plusieurs grilles de fer postées la pour la sécurité du camp.
Nous entrâmes dans l’arène. Elle était spacieuse et plutôt ronde. Au nord un petit rebord donnant l’avantage aux artilleurs pouvait changer totalement l’issue du combat. Plusieurs entrées pour les monstres étaient fermées par multiples grilles de fer. Au dessus des flancs de l’arène avait été construit des espaces publiques et des balcons où avaient été déposés de gros banc de bois et des grillages de fer.
- Houa, c’est impressionnant, tout cela pour une arène, il y a même des balcons pour le public.
- Oui, notre arène est très développée, mais la plus grand et avancée est surement celle de Kalana. Mais ne nous attardons pas tu vas te battre dans un tournoi. Le gagnant remporte une chambre dans la partie hôtel de la guilde de Kokoto financée deux mois, une griffe de lao shao lung le dragon ancien, et une pierre antique.
Emerveillé par le lot de récompenses je restai bouche bée.
Mick me regarda en souriant et me proposa de retourner à l’école d’entrainement. J’acceptai impatient de découvrir mon nouvel entrainement. De retour à l’école d’entrainement mon nouveau professeur me posa toutes sortes de questions :
- Connais-tu le nom des wyvernes et autres types de créatures?
- Plusieurs wyvernes et dragons anciens, oui.
- Lesquels ?
- Le Rathalos, le Kezhu, la Rathian, le Kushala-Daora, le Lao Shao Lung, le Plesioth, le Yan-Garuga, le Yan-kut-Ku, le Monoblos et le Diablos. Et j’ai entendu parler d’un Kushala-Daora brun comme la rouille.
- Bien, il manque le Gypcéros, le Basarios, le Gravios, le Kirin, le Teostra, la Lunastra, les trois légendaires Fatalis, le Tigrex, le Nargaranga, le Yamatsukami, l’Akadamente, l’Ukadamente, la reine Vespoid, l’Hypnoc, le Volgano, le Chaméléos et les variantes de certains monstres. Mais il y a aussi les primates comme le Congalala, le Rajang ou le Blangonga, il y a aussi les Carapaceons dont l’Hermitaur Daymo ou le Ceanataur Shogun et le plus grand de tous le Shen Gao Ren.
- Autant que cela ?
- Haha oui et je pense que nous ne les connaissons pas tous. Mais Je veux que tu lises se bouquin il recèle d’information sur les monstres. Désolé mais je dois partir, j’ai promis que j’exulterais mes talents lors d’un combat avec un Monoblos blanc dans l’arène.
Me donnant le livre il sorti de l’école. Je n’ouvris pas tout de suite le livre, j’attendis d’être chez moi pour le faire. Je m’assis sur ma chaise et posai le bestiaire sur mon bureau. Je l’ouvris et commençai ma lecture. Je lus une dizaine de page quand je tombai sur des informations sur un Rathalos argenté. La description des ses écailles s’alliait parfaitement avec les propriétés de celle que j’avais trouvé. Je pris l’écaille et courus jusqu'à la guilde des chasseurs pour les informée ma trouvaille. Je traversai le village a toute vitesse et entrais dans la guilde en vrac. Je me dépêchai jusqu’aux quartiers du maître de la guilde. Je frappai à la porte et entendu des bruits de pas. Deux jeunes femmes en sortirent me sourient, une d’elle susurra a l’oreille :
- Fait attention le vieux bougre est de mauvais poil, hihihi.
- ENTREZ !
Des frissons me parcoururent le corps. Je me décidai à entrer, et vit le maître de la guilde couché sur le divan.
- Ho Lonne, quel vent t’amène dans ma guilde.
- J’ai trouvé une écaille de Rathalos argenté dans la haute montagne enneigée de Pokke.
- Mpff ce que tu me dis est grave. Ou est-cette écaille ?
- Là voila, tenez.
Je lui donnai l’écaille. Il l’examina pensif et exprima son idée :
- Il faut avertir les autres chasseurs. Et en parler a la chef du village. S’il y a vraiment un Rathalos argenté qui rode par ici c’est le village et ses habitants qui sont en danger.
Ne perdent pas de temps, le maître de la guilde se leva et m’entraîna jusqu’au Hall de la Guilde. Il frappa dans un gong et cria :
- Silence ! Notre confrère Lonne a trouvé une écaille de Rathalos argenté. Mais il la trouvé dans la haute et majestueuse montagne de Pokke. Si un Rathalos argenté rode vraiment aux alentours, le village cours de grands dangers.
D’incessants murmures vinrent troubler le silence installé.
- J’ai dit SILENCE ! Et pour vérifier que le village ne court aucun péril, nous avons besoin de cinq chasseurs courageux et dévoués. Alors tout ceux et celles qui se sentent à la hauteur ici levez-vous.
- Moi. dit un homme en armure fait de Basarios donnant l’effet qu’il portait des pierres ornée de cristaux. Dans son dos une grande et large épée en os était attachée.
- Moi aussi. reprit une femme dans une grande armure violette en Chaméléos donnant un aspect mystérieux. Elle portait un katana dont la lame tordue disparaissait partiellement.
- Je viens. déclara une autre femme en armure verte faites d’écailles de Plesioth lui donnent l’apparence d’une poupée de verre. Elle tenait fièrement un arc en forme d’harpe.
- Prêt à partir. enchaina un homme dans une armure violette faite de carcasse de carapaceon et en cotte de maille. Une grande lance violette dépassa sa tête de plusieurs pouces.
- Je viens aussi. annonça un homme dans une armure noire en peau et écailles de Nargaranga. Un petit fusarbalette était attaché à sa taille.
- He bien c’était rapide. Lonne vous accompagnera aussi, la prime sera à définir selon votre combat, s’il y en a un. Lorsque vous serez prêts venez me le dire.
Le vieux maître de la guilde sortit à toute vitesse. Nous nous mîmes d’accord pour nous réunir le soir même pour préparer notre excursion.

Chapitre Sixième : LA VAGUE D’ÉNERGIE

Je me rendis jusqu'à l’école d’entrainement et y demandai Mick. Celui-ci m’accueillit et me questionna sur la raison de ma venue.
- Qu’est-ce qui t’amène par ici ? Ha et a tu lus le bestiaire que je t’ai confié ?
- Le livre, j’en ai consulté les quelques premières pages. Mais j’ai découvert que l’écaille que j’ai trouvée dans la haute montagne de Pokke était celle d’un Rathalos argenté et je pars en expédition avec cinq autres chasseurs pour voir s’il y a vraiment un Rathalos dans les parages. Nous partons demain à l’aube.
- Tu n’es pas prêt. Je dois t’apprendre la technique de la vague d’énergie.
- Mais je dois partir, le village à besoin de moi.
- Tu seras prêt à temps. Nous commençons tout de suite. Suis-moi.
Il m’entraîna jusqu'à l’arène et me dit d’attendre la ou j’étais. Il monta jusqu’au balcon réservé au publique. De là-bas il m’interpella :
- Lonne ! Je suis ici en haut !
Je lui fis un signe de la main.
- Tu vas te battre avec un Yan-Kut-Ku. Il est très faible tu n’aura pas de mal à le battre, mais cette entrainement t’aidera à libérer ta force et à la fusionner avec celle de ton arme.
- Je suis prêt. Envoyer le moi donc.
J’entendis des cris et une grille se leva et un petit wyverne rose avec un gros bec hurla de plus belle et cracha de petites boules de flammes qui vinrent s’écraser par terre. Je du me retenir de ne pas exploser de rire en voyant cet espèce de poulet rose géant se dandiner. La bête me regarda et grogna, il gratta le sol d’un de ces deux pattes. Il tenta de me foncer dessus, j’esquivai sans peine. Et lui entaillai le flanc en dégainant mon katana, l’impact produisit des éclairs. Furieux le Kut-Ku tenta de me griller avec ses boules de feu, de petites roulades suffirent à les éviter. Je couru sous ses pattes et lui tailladai la peau de tout les côtés. Il tomba par terre blessé et j’entendis mon entraîneur crier :
- Lonne attrape sa !
Il m’envoya un sac. Dedans un dispositif ressemblant à un piquet où une lampe bleu en métal était accroché. C’est un piège paralysant plante le par terre et tourne la pièce plate du haut, ensuite éloigne toi !
Je fis se qu’il me dit et m’éloigna la lampe s’ouvrit et forma un champ d’électricité. J’attirais le kut-Ku jusqu'à moi et l’entrainai dans le champ électrique généré par le piège. Le monstre s’écroula et ne bougea plus. Mick me cria :
- Maintenant concentre toi fait le vide. Ferme les yeux. Voila, maintenant pense a ton arme, rien n’existe a part ton arme, maintenant concentre ton énergie avec celle de ton arme.
Peut à peut une aura bleu m’entoura. Je sentis une puissance grandir en moi.
- Oui c’est sa maintenant ouvre les yeux et accumule toute ta puissance dans la lame de ton arme.
J’ouvris mes yeux et me forçai à déplacer mon énergie. Tout à coup l’aura qui m’entourait se dissipa et vînt entourer mon arme.
- Bien, maintenant essaye de produire un attaque a distance grâce a l’énergie accumulée. Essaye de l’envoyer.
Je pointai mon épée sur la bête et me forçai à envoyer l’énergie. Sans me retourner je communiquai avec Mick :
- Sa ne fonctionne pas, je n’y arrive pas.
- Concentre-toi, c’est simple, pense que l’énergie est mauvaise il faut que tu l’expulse de ton corps.
Je redoublai d’effort sentis l’énergie sortir de mon épée. Je continuai et l’énergie partit sous forme d’un éclair noir. Il atteint le Yan-Kut-Ku et le carbonisa instantanément.
Fièrement je me retournai et vit Mick m’applaudir :
- Magnifique. Ton attaque a littéralement carbonisé le Kut-Ku. Une telle puissance concentrée, je n’ai jamais vu quelqu’un modeler son énergie en éclair. Bravo.
- Je suis épuisé, mais j’arrive à accumulé l’énergie mais pas à l’expulser.
- C’est normale au début, mais tu verras sa va s’améliorer. Dit toi que l’énergie est mauvaise et que tu dois l’envoyer loin.
- Merci. Mais je dois partir maintenant j’ai ma réuni dans deux heures et je dois laver mon armure.
- Attends moi je descends.
Mon entraîneur me rejoins et me raccompagna jusqu’au hall, là bas il me tendit un sac :
- Tiens dedans il y a une dizaine de potion, une dizaine de potions spéciales, cinq potions antiques, trois poudres revitalisantes, cinq jus énergétique, de grandes cordes, dix bombes lumineuses, dix bombes soniques, dix bombes odorantes, deux pièges électriques et des rations de survie.
- Merci. Il est lourd, c’est très gentil de m’offrir tout cela, comment vous en remerciez ?
- Ne t’inquiète pas pour cela, je ne manque pas d’argent. Mais par contre ton katana n’infligera pas de gros dégâts au Rathalos argenté. Je veux que tu prennes aussi ces armes. C’est un katana fait à base de composants de Rathalos et de Kushala daora, sa lame peut trancher même la roche.
- Tout sa pour moi ! Pas besoin de m’en donner autant, je ne puis accepter c’est trop.
- Je t’en prie, c’est un cadeau. Prends-le, et bonne chance, je dois te laisser. Mais avant tu dois lui choisir un nom pour chacune de tes deux armes.
- Un nom, mhhh… Pour mon ancien katana je vais l’appeler ‘’ trancheur de démons’’ et pour celui que vous m’offrez ‘’ dernière flamme gaélique’’.
Laissant Mick derrière moi je sorti.

Chapitre Septième : CHASSE DÉCLARÉ OUVERTE


De retour chez moi j’appelai les deux felynes :
- Strum, Kayl venez ici !
- Maître, que désirez-vous.
- Demain nous partons, un Rathalos argenté rode apparemment dans la montagne enneigée, ce qui est anormale.
Strum prit les devants et me demanda :
- Nya que devrons nous faire ?
- Vous resterez en retrais pour nous assistez en cas de blessure. Vous pourrez aussi nous aider en captant l’attention du monstre si besoin est.
Kayl se tourna vers Strum acquiesça de la tête :
- Nya nous en serons honorés. Nous vous accompagnerons.
- Bien j’ai réunion, venez-vous avec moi ?
- Non nous restons l’ambiance a la guilde n’est pas faite pour les chats.
- D’accord mais pourrais tu me essuyer mon armure s’il te plaît ? Elle est tout sale.
- Ho oui volontiers. Me répondis Kayl
Il me lava mon armure et me la rendis. Je l’enfilai, pris mes deux armes et parti jusqu'à la guilde. Apparemment le village était au courant des événements, dehors il n’y avait personne.
Dans la guilde seuls quelques chasseurs osaient s’aventurer dans des quêtes. Mes nouveaux coéquipiers m’attendaient debout. Le maître de la guilde m’accueillit :
- Bonsoir Lonne. La réunion va pouvoir commencer. Suivez-moi.
- Bonsoir.
Le vieille homme nous amena jusqu'à une salle ou était entreposé plusieurs chaises et une table.
- Vous pouvez vous assoir.
Nous retirâmes nos casques.
- Bien place aux présentations. Vous nous renseignerez sur votre nom, votre rang et vos équipements. Commençons par toi Lonne ensuite nous ferrons un tournus dans le sens des aiguilles d’une montre. Bien vas-y.
Mal à l’aise je me lançai :
- Je m’appelle Lonne, je commence les missions de quatrième rang, j’ai une armure en Kezhu, un katana produisant des attaques de foudres que j’ai nommé ‘’ trancheur de démon’’ et un autre katana que j’ai nommé ‘’dernière flamme gaélique’’. Voila
- Merci maintenant au suivant.
L’homme en armure à base de Basarios se leva et commença la présentation :
- Je m’appelle Bao Ling, je suis un chasseur de rang cinq. Mon armure est faite a base de composants de Basarios et mon arme est une grande épée en os et crocs de wyvernes, je l’appelle ‘’ Agito du dragon ‘’.
- Merci Ling, maintenant au suivant.
- Je m’appelle Diane, je chasse en rang sept. Mon armure est en Chaméléos et mon arme de même, je l’ai nommé ‘’ ancien mirage ‘’.
- Très bien, prochain.
- Je m’appelle Masumi, je suis une chasseuse de rang six, j’ai composé mon armure a base d’ Hornetaur et de Vespoid et mon arme avec une harpe antique qui appartenait aux wyverniens.
- Bien merci, au suivant.
- Moi je suis Uriko, je suis un grand chasseur de rang six et je porte une armure en Hermitaur Daymo violet et une lance a base du même monstre, je la surnomme ‘’ la pince destructrice ‘’
- Très intéressant, au dernier.
- Je m’appelle Flyrone, je peux me vanter d’être rang huit et de posséder une armure en peau de Nargaranga et un fusarbalette a base de la même horrible créature.
- Heu oui bien. Maintenant nous allons choisir un parcoure.
Il sortit une carte de la montagne et nous commençâmes à organiser notre parcours. Nous nous étions mis d’accord quand Masumi nous interrompra :
- Il faudra passer par la zone des grottes c’est plus sure et inaccessible au gros monstres, d’ailleurs j’y passe toujours. Mais il faudra rester en groupe car les chemins sont très instables.
- Oui c’est une bonne idée, personne ne s’y oppose ? reprit le maître de la guilde
Nous nous décidâmes et commençâmes à parler de la partie du combat.
- Les archers et les fusarbalettriers resterons en retrait pour intervenir par intermittence, les lanciers attaquerons vite pour infliger des dégâts au monstre rapidement, les épéistes attaquerons sans cesse la bête et tenterons de lui trancher et casser les ailes et les griffes. Des idées ?
Personne ne se manifesta.
- Bien vous aurez chacun une chambre et devrez être debout a l’aube. Sur ce je dois vous laissez.
Nous nous complimentâmes et allâmes nous coucher chacun dans nos chambres respectives. J’enlevai mon armure et enfilai une tenue pour la nuit. Je m’apprêtais à me coucher quand quelqu’un frappa à la porte de ma chambre. J’e l’ouvris et vi Diane me souriant :
- Bonsoir désolé de te dérangé, mais pourrais-je entrer.
- Heu oui fais comme chez toi. Qu’est ce qui t’amène si tard ?
- Hé bien, c’est assez gênant mais il y avait des souris dans ma chambre, et j’ai horreur de ces bêtes. Et je ne veux pas retourner là-bas, et je voulais savoir si je pourrais rester dans ta chambre jusqu'à demain ?
- Heu oui tu peux rester.
- Merci je te promets de ne pas t’importuner.
Elle me remercia joyeuse et posa ses affaires dans un coin de la salle. Elle se tourna vers moi et me dit :
Elle se tourna et enleva son armure, elle était presque nue. Elle se retourna vers moi et me parla :
- Ho non il n’y a qu’un lit comment va-t-on faire ?
- He bien je ne sais pas je vais dormir par terre.
- Non, non, tu ne vas pas dormir par terre. Je vais dormir par terre.
- Mais je ne peux te laisser dormir sur le sol dur et inconfortable. La seule solution est que nous dormions dans le même lit.
Elle rougit et me répondit :
- Heu moi sa ne me dérange pas mais je ne voulais pas t’importuner.
- Se n’est rien, tu ne m’importune pas ne t’en fait pas.
Je croisai son regard et une sensation étrange m’envahit, je rougis et lui dit :
- Bien demain nous devons aller chasser, il vaut mieux que nous allions nous coucher.
- Tu as raison. Ho non j’ai oublié de préparer mes potions. Pourrais-tu m’aider s’il-te plaît.
- Volontiers. Que dois-je faire ?
- Juste mélanger les ingrédients. Tien voila l’herbe le miel et les champi bleu. Et voila un récipient et un morceau de boit pour écraser.
Chacun de notre côté écrasâmes et mélangeâmes les ingrédients. La potion que j’avais concocté était noire et ne semblait pas être comestible.
Diane me regarda et ne put s’empêcher de rigoler :
- Hahaha, ce n’est pas comme sa, regarde bien. D’abord l’herbe ensuite les champignons et …
Elle me regarda et vit que je ne m’intéressais pas a ce qu’elle faisait mais que je l’observais. Elle me fixa droit dans les yeux et nous nous embrassâmes.
Nous nous regardâmes et sourîmes. Elle me regarda et me dit :
- Il vaudrait mieux qu’on aille dormir, demain nous devons nous lever tôt.
- Tu as raison.
Nous nous couchâmes sans dire mot.
Le lendemain matin, je me réveillai par le bruit d’une trompette, j’ouvris les yeux et vis Diane souriante murmurer :
- Bonjour, tu as bien dormis ?
- Très bien, il faux nous préparer c’est l’heure.
- Oui tu as raison, je vais juste prendre un bain, tu viens ?
- Où sa ?
- Prendre un bain il n’y a pas le temps pour que l’on en prenne deux.
- Heu mais…
- Ne soit pas gêné, je ne vais pas te manger.
- Heu oui d’accords.
- Allons-y alors qu’est ce que tu attends.
Elle se déshabilla devant moi, et alla faire couler l’eau pour le bain elle me prit par la main et m’entraina dans la salle de bain.
J’enlevai mes habits et me plongeai dans l’eau chaude. Diane en fit de même. Nous nous embrassâmes durant un quart d’heure environ quand on frappa a la porte. Quelqu’un cria :
- Lonne dépêche toi c’est l’heure.
Je regardai Diane et dis :
- Il faut nous habiller et mettre nos armures.
- Oui, vite.
J’enfilai des habits propres, et mit mon armure.
Je me retournai et vis Diane prête :
- Comment as-tu fais pour te préparer si vite ?
- J’avais tout mis dans un coin pour faire plus vite, je suis plutôt ordonnée.
Je souris et pris mon sac j’ouvris la porte et vit toute mon équipe réunie :
- Alors, tu ne t’es pas réveillé ? Nous devons y aller, et Diane n’est toujours pas prête. grogna Flyrone
- Je suis là ! déclara Diane
Tous les regards se dirigèrent vers elle.
Flyrone esquissa un sourire et repris :
- Ha je comprends pourquoi, mais bon vous êtes prêts ?
Gêné je balbutiai :
- Heu oui, nous sommes prêts.
Nous partîmes jusqu’au hall de la guilde. Là bas le propriétaire des lieux nous accueillit :
- Alors prêt a partir, vous m’avez fait attendre, pourquoi tant de retards ?
- He bien demandez à Lonne et a Diane les deux tourtereaux, haha. rigola Flyrone
- Hoho, je vois, mais bon, passons, allez vous chercher un étalon et vous pourrez partir. Il faudra quelqu’un qui monte l’aptonoth c’est lui qui transporte le campement et les sacs.
- Je peux le faire, sa ne me dérange pas. émit Bao Ling
- Merci, bien c’est partit, la chasse au Rathalos argenté est ouverte. Allez-y les jeunes.
Nous nous dépêchâmes de charger l’aptonoth et de prendre nos chevaux. Nous partîmes vers la montagne enneigée. Après une vingtaine de minute de route, nous installâmes le campement dans un recoin peu élevé couvert et a l’abri des wyvernes. Nous attachâmes nos montures et préparâmes nos affaires.

Chapitre Huitième : UN COMBAT INATTENDU

Nous marchâmes jusqu’aux grottes et nous fîmes une pause, les chemins sinueux et enneigés ne facilitaient pas le passage. Masumi passa devant et nous appela :
- Ici il faudra se tenir la main et être accroché a une corde, le chemin est très glissant il serait préférable que vous mettiez des clous sous vos chaussures. Je passe devant.
Nous suivîmes ses longues consignes et redoublâmes de prudence. Je serais la main de Diane, elle devait fermer la marche. Longeant le mur je me forçais à ne pas regarder vers le gouffre noir. Le sol se mit subitement à trembler, Masumi nous cria :
- Accrochez vous à la paroi vite, plantez vos piques dedans.
Diane perdu l’équilibre et glissa vers le trou béant. Je lui rattrapai la main et tentai de la remonter, en vain, son équipement la rendait trop lourde. Dans un ultime crie de désespoir elle me déclara triste :
- Je suis un fardeau vous ne réussirez pas a m’aider je dois couper la corde. Lâche ma main.
- Nous y arriverons, nous pouvons le faire tiens bon.
- Non, c’est impossible, je suis trop lourde, je vais vous emporter. Adieux Lonne, je t’aimerais toujours.
Je protestais mais elle sorti un petit couteau de dépeceur. Elle découpa lentement la corde et se laissa tomber. Je me rapprochai du gouffre et hurlai :
- Nooooooooon, pourquoi tu as coupé cette corde. C’est ma faute, j’aurais du t’en empêcher.
Flyrone se rapprocha de moi et tenta de me consoler :
- Tu sais elle a décidé elle-même de couper la corde, elle savait que nous ne pouvions la remonter, elle la fait pour toi, pour nous.
Les yeux emplis de rage, je grognai :
- Allons-y, qu’on en finisse.
Pressant le pas nous sortîmes des grottes et atteignîmes un vaste terraine plat et enneigé. J’entendis des cris et des bruits d’explosions. Je accourus pour voir se qu’il se passait. Un grand Rathalos argenté se battait avec se qu’il me semblait être un Kushala-daora. Le corps du dragon ancien était blanc et scintillait, il envoyait de grande et puissantes bourrasques de vents. Son corps était court et ses ailes étaient deux fines membranes qui reliées formaient deux triangles, sa queue courte et fine se balançait. Ses deux pattes lui servait de support et il attaquait généralement par ses griffes ou en contrôlent le vent. Son pouvoir lui permettait en effet de faire appelle au forces du vent, et même de créer des tornades indomptables. Le Rathalos argenté crachait de grandes gerbes de flammes et donnait de grand coup de queue, il n’avait pas de bras mais utilisait ses pattes de façon intelligente. Les piquants de sa queue étaient enduits d’un poison mortel.
Les deux monstre se battaient férocement quand un cri retenti de plus belle. Un tigrex atterri en désastre et hurla de plus belle. Les trois monstres redoublèrent de violence. Le tigrex s’attaquait prioritairement au Kushala-daora ainsi que le Rathalos, le dragon ancien ne se laissant pas faire, il créa une tornade et balaya les deux monstres. Ceux-ci revenir et les attaques redoublèrent.
Bao Ling nous interpella :
- Vite ils vont tout détruire. Il faut faire quelque chose. Ils risquent d’ensevelir le village s’ils provoquent une grosse avalanche.
- Que devons nous faire ? Nous n’arriverons pas à les stopper ils sont trop forts.
- J’ai un plan, il me faut quelqu’un prêt à risquer sa vie et deux felynes pour nous aider.
Je m’avançai et me portai volontaire :
- J’y vais, Strum et Kail m’accompagnerons, que dois-je faire pour en finir avec ses bêtes ?
- Il faudra que tu attire leur attention et ensuite que tu lance une bombe flash, ils seront étourdis pendant quelques instants. Ensuite tes felynes t’aideront à porter trois grandes bombes barils améliorées avec des champis explosions très rares. Vous les poserez et courrez jusqu'ici le plus vite possible mes nouvelles bombes améliorées ont un dispositif qui dés qu’il dés qu’il est activé laisse le temps au chasseur le temps de partir et fait tout exploser. Ils risquent de s’en sortir mais pas dans leur meilleur forme. Nous pourrons nous charger d’eux.
Il laissa échapper un rire psychotique.
Je pris la bombe flash et couru la rage au cœur jusqu’au devant de ces horribles monstres. Je criais et courais mais les monstres ne me prêtaient pas attention. Je décidais alors de prendre ma flute et d’en jouer. Les trois bêtes arrêtèrent de se battre et me scrutèrent. Je pris mon courage a deux mains et envoyai ma puissante bombe flash. Lorsque celle-ci toucha le sol, une puissante lumière fut libérée. Je dus me protéger les yeux en les couvrants de mon avant-bras. Je rouvris les yeux et vit les trois bêtes désorientées. Je me ressaisis et entrepris de poser les bombes. J’attrapais le baril et me mit à courir, derrière moi mes felynes me suivaient avec peine, les bombes pesaient sur leur dos. Je ne pensais plus à la douleur qui endolorissait mes bras et jambes. J’arrivais a la distance prévue et posait le baril. Les deux félins laissèrent leurs bombes proches de la mienne de façon à créer une zone d’atteinte de l’explosion plus étendue. Je hurlai pour que mes felynes m’entendent au milieu des cris et grognements que les monstres produisaient :
- Vite courez, aussi vite que vos jambes puissent vous portez. Je vais juste régler un détail, et ensuite j’activerai le dispositif des trois bombes.
Mes chats acquiescèrent et partirent rapides comme le vent.
Je dégainai ma nouvelle arme et donnai des coups sur le Kusha plusieurs fois, la légèreté de l’arme me permettait d’enchainer des attaques rapidement. Les impacts faisaient tomber plusieurs écailles et morceaux de peau. La bête semblait reprendre conscience au contraire des autres monstres qui étaient couché l’un sur l’autre et ne semblaient pas conscients de leurs actes. J’abattis le plat de mon arme très violament et le Kushala-Daora perdit connaissance. J’attachais une corde autour de sa taille et tirai dessus attirant la bête inconsciente trainais sur le sol. J’arrivai assez loin des bombes et attachai le monstre lourdement. Le Rathalos et le Tigrex avaient presque finit de reprendre leur esprit et se levaient lentement. Pris de panique j’attrapai une pierre sur le sol et l’envoyai directement sur une des trois grandes bombes. L’impact produit une violente explosion. Je senti la chaleur m’atteindre. La fumée dissipée, je pus apercevoir deux carcasses carbonisées sur le sol, un fin fumet noir et nauséabond s’en échappait. Une odeur de viande brulée me parvint au nez. Je me retournai et vit mes compagnons autour du dragon inanimé, Flyrone se retourna et se dirigea vers moi. Il arriva à ma hauteur et me lança énervé :
- Pourquoi ne la tu pas laissé la ou il était, il aurait brulé comme les autres.
- Je l’ai récupéré pour me faire une armure, je ne voulais pas que sont corps soit trop abimé. Je l’ai donc endormit avec le plat de mon arme.
- Bien mais il faut que tu en finisses avec lui maintenant.
- Pas de problème.
Je levai mon arme et tentai de reproduire la vague d’énergie que j’avais infligé au Kut-Ku. Je concentrais mon énergie quand l’aura bleu m’entoura, je sentis alors une puissante énergie traverser mon corps tel des milliers d’éclaires. Je concentrai cette puissance dans la lame de mon arme. Je repensai aux paroles de Mick, <>
Je tendis alors mon arme en direction du ciel et envoyai tout l’énergie accumulée sur la bête. L’attaque prit la forme un gigantesque éclair noir qui descendus du ciel très rapidement et attint la bête. Le dragon rouvrit les yeux paniqué et fut prit par de violents spasmes et hurla aussi fort qu’il pouvait, de violentes bourrasques de vents l’entourèrent et s’intensifièrent. Le corps du monstre fut entouré par des milliers de petites éclaires noires. Le monstre retomba sur le côté mort de douleur. Fatigué je m’écroulai, je sentis que l’on me releva. Je vis Bao Ling de son imposante carrure me tenir par les bras. Il me secoua et déclara inquiet :
- He petit tout va bien, tu peux marcher.
Je repris mes esprits et m’appuya sur mes jambes avec peine. Je me sentais faible quand Uriko me tendis une fiole et me dit :
- Voila un jus énergétique que j’ai amélioré avec l’extrait d’une glande de Rajang.
J’attrapai la fiole mollement et versai le liquide gluant dans ma bouche, j’avalai d’un trais cet infâme mélange. Je sentis tout d’un coup une folle énergie revenir à moi. Je me sentis de suite mieux et remerciai Bao et Uriko pour leur aide :
- Merci, j’avais l’impression de ne plus pouvoir contrôler mon corps. Ce liquide n’est peut-être pas aussi bon que la bière, mais son effet est immédiat. Bon il faut que je sélectionne des composants sur le monstre pour mon armure.
Flyrone s’avança :
- Lonne je voulais te demander, comment a tu réussi à effectuer cette attaque ? Seul les chasseurs de rangs très élevés réussissent a effectué cette attaque dévastatrice, et de plus tu as réussi à former ton énergie de façons à créer des éclaires.
- He bien c’est mon entraineur qui me la apprise, pour les éclaires, c’est naturel je n’ai rien fait de spéciale pour les créer.
- D’accord, je trouve que tu as beaucoup de talent. me répondit mon compagnon
N’ayant pas le cœur à rire ni a sourire, je me dépêchai de sortir mon couteau et je retirai beaucoup d’écailles et d’autre composants tels que les des griffes ou de la peau dur comme le métal. Un liquide épais s’écoula d’une plaie et je décidai d’en remplir une fiole. Masumi me vit et me dit :
- C’est du sang de dragon ancien, ces vertus curatives font des miracles.
Je gardais se précieux liquide et averti mes amis de mon départ :
- Je voulais vous informer que je reste ici encore quelque temps a la recherche de la chose qui m’est la plus chère. Diane, je sais quelle est toujours vivante, et je pars de suite.
Flyrone prit les devants et vint m’encourager :
- Bonne chance j’espère que tu la retrouveras.
Vinrent ensuite Masumi Bao Ling et enfin Uriko me conseiller et m’encourager.
- Je vous remercie de votre sympathie, ne vous inquiétez pas mes deux compagnons félins m’accompagnerons. Je suis un chasseur je saurai me débrouiller. Juste une dernière requête, pouvez vous transporter les trois corps jusqu’au village ? Si on les laisse ici les charognards vont arrivée de tous les côtés. Et n’oubliez pas de dire que c’est moi qui les aie tués. Surtout le Kushala-Daora, amenez le a l’armurier pour qui me fasse une armure, il a mes mesures. Mais ne dîtes rien sur Diane, racontez leur une histoire ou elle serait en excursion avec moi. Se fût un plaisir de vous avoir connu.
Après de cours adieux je repris la route.

voici le chapitre neuf

Chapitre neuvième : LONGUES RECHERCHES

Je ressentais un vide, sans Diane, une partie de mon identité s’était envolée. Je cherchais partout même dans les endroits les plus inattendus, la nature recèle de passages et de tunnels creusés par le temps. Je retournais à l’endroit ou ma tendre moitié s’était jetée dans le vide, coupant la corde. Je plantai plusieurs piques dans les parois de pierre et de glace. J’attachais plusieurs cordes ensembles pour n’en former plus qu’une. Je l’accrochais aux piquets, je regroupais mes vivres et mes objets utiles pour entreprendre la décente. J’établie un plan avec mes amis Felynes :
- Je pars en bas, vous restez ici, assurez vous que la corde ne lâche pas. Si je tire sur la corde trois fois cela voudra dire que vous devrez monter la corde. Sa sera nos équipements, car cela sera trop lourd si on les portes. Et restez vigilants.
- Oui maître. Nous ferons tout notre possible. Bonne chance, Nya.
- Merci. Allons-y, il faut faire vite, on ne sait quel danger elle peut encourir.
J’attrapais la corde et entamais la descente. Je longeais la paroi glissante et froide. Je descendais depuis déjà cinq minutes, quand je commençais à ressentir une douleur vive aux niveaux de mes bras et de mes jambes. Je regardai vers le fond et je pus apercevoir une fébrile lumière. Je redoublais d’efforts, imaginant Diane m’attendent. Je touchais enfin le sol, je regardai tout autour de moi. Je me tenais dans une grotte tapissée d’os et de peau de bêtes. Prudent j’avançai à pas de loups, je sursautai tout d’un coup, je regardai sous mon pied et vis un os cassé. J’entendis alors des cris à mesure que je m’approchai d’une ouverture dans la paroi. Dans un grand vacarme se distingua alors les cris d’une femme apeurée. Je couru jusqu'à l’origine des cris. Une meute de Gyapreys s’agglutinait autour de quelque chose, quelque chose de vivant. Les reptiliens se tenaient sur leur deux pattes arrière et avançaient en criant comme pour faire peur a quelqu’un. Je ne réfléchis pas plus, la colère pris le dessus sur moi quand je compris que ses horribles bêtes tournaient en rond autour de ce qui pourrait être Diane. Je sentis une puissance phénoménale monter en moi, je ne contrôlais plus mon corps. Le cœur emplit de rage, je dégainais mes deux katanas. Un dans chaque main je hurlai de colère. Les infâmes reptiles se retournèrent précipitamment. Je chargeai et tranchai la gorge à un de ces monstres. Je transperçai de mes armes encore deux autres abominations. Les autres bêtes me sautèrent dessus en même temps. Je fis un tour sur moi-même levant mes katanas, ainsi pourfendant ses odieuses créatures. Il n’en restait plus aucun. Je dirigeai mon regard sur leur ancien centre d’attention. Je vis alors Diane dans son armure, elle ne bougeait plus. Je rangeai mes armes sans même les essuyer. Je couru jusqu'à elle et lui retirai son heaume. Elle me sourit et déglutit avec peine :
- Lonne, tu es venue pour moi. C’est peine perdue, je ne peux plus marcher j’ai rampé jusqu’ici avec peine. C’est bête sont alors arrivées par un trou dans le mur et se sont attaqué a moi.
Fou de joie de l’avoir retrouvé, je déclarai joyeux :
- Ce n’est pas grave. Je t’ai auprès de moi. Je peux te soigner, j’ai du sang de dragon ancien. C’est vertu curatives peuvent faire des miracles.
- Je vois que Masumi t’en as parlé. Garde le je vais mourir de toute manière.
- Tait-toi, tu vas boire sa et tu vas vivre, tu comprends.
- J’apprécie l’attention que tu me porte mais...
- Pas de mais, boit sa.
J’ouvris la fiole et lui déversa le liquide dans la bouche. Peut a peut elle se sentit mieux. Elle réussi à se lever avec peine, elle me sauta au bras en pleurant :
- Merci, merci… J’ai cru que j’allai mourir. Tu as risqué ta vie pour moi. Vite allons-nous en d’ici, avant que d’autre de ces chose reviennent.
- D’accord, je vais t’accrocher à mon dos et je vais grimper.
- Mais je suis trop lourde, avec mon équipement et mon armure.
- Je sais, c’est pour sa que tu vas les enlever et me les donner.
- Ho, oui mais pourquoi ?
- Pour que mes felynes le montent, ainsi nous serons plus légers garde ton arme si tu veux.
Je retirai mon armure me retrouvant en petits vêtements, en proie à la morsure du froid. Diane enleva son armure et frissonna :
- Brrr, j’ai froid dépêchons nous.
- Tu es douillette pour une chasseuse, haha. Attrape c’est un breuvage chaud tu auras un peux moins froid.
- Merci, tu me sauve, j’avais l’impression d’être un glaçon.
Je souris et enroulai les armures dans un linge de tissus et l’accrochais a la corde. Je tirai trois fois sur la corde et les équipements montèrent. Je patientai quelques instants et la corde redescendu. J’accrochai Diane à mon dos et entamai la montée. Le poids sur mon dos m’empêchai de grimper rapidement, je sentais mes muscles endoloris, je décidai de demander un jus énergétique a Diane :
- Humpf, Diane donne-moi un jus énergie il est dans mon sac.
- Heu oui, tu y arrive, je ne suis pas trop lourde ?
- C’est bon j’ai juste mal au dos et au bras.
- Voila le remède bois-le.
Elle me versa le liquide gluant dans la bouche, je l’avalai et me sentis tout de suite mieux, un flux d’énergie traversai mes muscles, les empêchant de fatiguer. J’étais arrivé en haut et je me reposais quand le sol se mit à trembler.
J’attrapai mes affaires et criai :
- Vite allons nous-en, tout vas s’écrouler.
J’attrapai Diane et mes deux amis félins et courrai dehors. Je sorti au moment ou la grotte s’effondra. Je sautai évitant de peux de me faire écraser par des tonnes de pierre et de glace. Après avoir évité la catastrophe je me dépêchai de rentrer jusqu’au camp. Là-bas, nous reprîmes nos chevaux et les montâmes jusqu’au village de pokke.


J’arrivais devant les portes, celle-ci s’ouvrirent sans même que je le demande. Des bruits de tambours s’intensifièrent au fur et à mesure que j’entrai dans le village. Une immense foule se rassembla autour de moi et de mes compagnons. Ils chantaient joyeusement et criaient a tue tête :
- On est sauvé, tu es notre héro. Lonne est un héro.
Heureux que l’on m’accueille de cette façon, je fis la fête toute la nuit avec le village. Ensuite vinrent les félicitations de mes amis chasseurs et même du maître de la guilde et de la chef du village.

Chapitre Dixième : TOURNOI INTENSE

Je festoyais allégrement quand le haut gardien du village, voulut m’offrir un présent :
- Tien, vu tes performances d’aujourd’hui, je pense que tu le mérite, c’est un couteau qui appartenait au chasseur qui avait fondé le village de Pokke. Sa lame en métal pur tranche la roche comme de la soie. Cette lame antique se transmet de chasseur en chasseur. Ses pouvoirs font trembler les plus grands wyvernes.
- Merci, je n’en mérite pas tant, je n’ai fais que mon travaille.
Je pris le couteau et le sortit de son petit fourreau. La lame blanche scintillait, elle émettait une énergie à chaque contact. Je la rangeai et captivai l’attention des villageois :
- Mesdames et messieurs, si nous sommes réunis aujourd’hui, c’est parce que j’ai tué trois monstre abominables, mais je n’aurais jamais réussi à chasser ces bêtes sans l’aide des mes compagnons, Uriko, Bao Ling, Flyrone et Masumi. C’est surtout grâce à l’aide de la femme que j’aime, que j’ai accomplis cet exploit, et maintenant que nous sommes réunis je voudrai que vous me voyiez.
Me tournant face a Diane je repris mon discourt :
- Je voudrai que vous me voyiez, demander a cette femme de vivre avec moi pour le restant de ses jours. Diane, veux-tu m’épouser ?
Un sourire se dessina sur son radieux visage, elle laissa tomber une larme et me répondit toujours souriante :
- Oui, pour le meilleure et pour le pire.
Je l’embrassai heureux et me retournai vers la foule. Celle-ci nous criait gaiement leurs félicitations. Des orchestres jouèrent des hymnes joyeux, des chœurs chantaient les chansons de jours heureux. La fête finit tard dans la nuit, je sentais mon corps tout endoloris de cette longue journée. Je ne fis pas longtemps avant de m’endormir. Cette nuit je rêvais d’un homme dans une grande armure pourpre et noir. Il me regardait et tendait la main vers moi, celle-ci se mettait à luire, une vague d’énergie en sortait et se dirigeait directement sur moi. Le reste de mon rêve restait flou, a mon réveil je ne m’en souvenais que partiellement. Le soleil se battait son plein. J’enfilai mon armure et sorti rapidement, dehors les villageois s’occupaient comme les jours normaux. Je décidai de rendre visite à la chef du village.
Celle-ci m’accueillit joyeuse :
- Lonne quel plaisir, tu me fais en me rendant visite. Qu’est ce qui t’amène.
- Je veux partir à la chasse comme d’habitude, mais je vais faire un tournoi de chasse aujourd’hui. Donc si demain tout vas bien je pourrais partir a la chasse.
- Justement il y a un Diablos noir, cette bête rare rode trop près du village de Kokoto, et le vieux bougre de chef m’a demandé de lui envoyer un de mes meilleures chasseurs, j’ai tout de suite pensé a toi.
- Merci, c’est justement un quête comme sa que je cherchai. C’est noté je pars demain sans faute.
- Bonne chance, je viendrai te voir dans ton tournoi.
Je repris la route en direction de l’armurier. J’entrai dans le magasin, un homme dans une armure orange se plaignait à l’armurier :
- J’ai besoin de cette armure aujourd’hui, j’ai un tournoi et je veux le gagner.
- Je vous ai déjà dit que je ne peux pas vous la faire aujourd’hui. Je n’ai pas le temps.
- Vous allez me la faire ou sinon…
Face aux actes de violences de cet homme sur l’armurier je l’interrompais en lui attrapant le bras.
- Sinon quoi ?
- T’est qui toi, que fais-tu ici ? Tu na rien avoir avec sa.
- Je suis Lonne chasseur de rang quatre. Et si il te dit qu’il na pas le temps c’est qu’il ne peut rien faire pour toi alors vas-t-en avant que je ne m’occupe de toi et que j’appelle ensuite les gardes.
Hésitant il lâcha l’armurier et me poussa, il sorti sans mot dire.
L’armurier jubila :
- Merci, cet homme ne pense qu’a sa petite personne. Si j’aurais vingt ans de moins je m’en serais occupé mais la je suis déjà trop vieux.
- Qui était-ce ?
- Ho un chasseur de rang sept, il voulait que je lui prépare une armure en Fatalis pourpre, alors qu’il lui manquait des composants et que je n’avais pas le temps. Mais j’oubliai, que puis-je faire pour vous.
- Heu je dois venir chercher mon armure en Kushala-Daora. Un cadavre vous a été apportez il y a peu.
- Ho oui quatre chasseurs me l’on amenés. Je m’en souviens, c’est vrai elle était pour toi. Je vais la chercher attends moi ici.
Il alla jusqu'à l’arrière salle et fit un moment avant de revenir.
Il me tendit un paquet et me conseilla :
- Voila l’armure, ne l’approche pas trop du feu elle chauffe très vite. Sa forme te permet de te mouvoir à volonté, elle te protège de la puissance des cris des wyvernes et du vent qu’ils font avec leurs ailes.
- Merci, pratique. Combien sa va me couter ?
- Huitante milles zennies.
- C’est cher, je crois que j’ai à peine assez.
- Je te l’offre.
Je me retournai pour voir la personne qui venait de me parler. C’était Diane, souriante elle continua :
- Je te dois bien sa, de plus j’ai un bon compte en banque.
- Non, c’est trop d’argent.
- Pour moi c’est peu.
Elle se dirigea au comptoir et y déposa quelques pièces d’or.
- Les voila vos huitante milles zennies.
L’armurier acquiesça et repris son travail.
J’attendis d’être dehors pour parler avec Diane :
- Tu n’étais pas obligée d’utiliser ton argent.
- Tu rigole j’espère, tu ma sauvé et de plus j’ai le droit de faire un cadeau a mon futur marie.
- Que ferais-je sans toi ?
- Mhhh tu serais un clochard.
- Haha sympathique, tu viens me voir à mon tournoi ?
- Bien sûre, pour rien au, monde je ne manquerai sa.
- Merci. Bon je vais me préparer j’ai promis a Mick que je serais la avant le début du tournoi.
- D’accord, mais fais attention là bas, les monstres sont toujours des monstres.
Je retournai jusqu'à ma demeure et enfilai rapidement mon armure. Elle était légère, une impression de métal froid sur la peau me fit trembler, l’armure était argentée au trait blancs, son enveloppe était dur comme le métal, deux épaulières étaient fièrement posée me donnant l’aspect d’un grand empereur.
Je pris mes deux katanas et les accrochai dans mon dos. Je sortis de chez moi pour aller prendre des drogues améliorées pour mon combat. Je voulu rentrer dans le magasin mais la porte était fermée. Je me résignais à partir, quand des bruits de trompettes envahirent la ville. Je couru jusqu'à l’arène, là bas les festivités commençaient. Mick accourut en m’a direction :
- Mais ou étais tu donc passé ? Les noms des participants vont être énoncés, dépêche toi, quand tu entendras ton nom, tu devras te présenter devant le jury et t’agenouiller, ils te donneront ensuite un papier comme quoi tu participe officiellement au concours.
Un grand homme habillé d’une robe de cérémonie bleu se leva :
- Bienvenu mesdames et messieurs, aujourd’hui as lieu l’un des plus grands tournois de chasse de toute la Gardemine, des chasseurs de tout les niveaux affronteront des monstres plus féroces les un que les autres. Bien, commençons par présenter les candidats.
Une femme habillée de la même façon se leva et énonça une longue liste de prénoms, chacun des participants s’agenouilla devant le jury. Arriva mon tour :
- Monsieur Lonne, chasseur de rang cinq.
J’accouru m’agenouiller, et je reçu mon certificat de participation.
La dame continua d’annoncer des noms jusqu'à vienne un nom spécial :
- Monsieur… Dragon noir, chasseur dont le rang est indéfini.
L’homme que j’avais vu dans l’armurerie se présenta alors sans s’agenouiller arrachant des mains le papier. Des cris d’exclamations suivis de murmures incessants se firent entendre. Le jury ne s’exprima pas sur l’affront que l’homme avait fait face a président du concoure. Les combats débutèrent de suite. Les monstres étaient lâchés face aux chasseurs et ceux-ci devaient mettre le monstre hors état de nuire. Après quelques combats, vint enfin mon tour. Le grand homme qui avait annoncé le discours lut un parchemin :
- Lonne chasseur de rang 5 affrontera ….
Son regard étonné se dirigea vers le jury. Ceux-ci lui dirent de continuer.
- Un Nargaranga
Je rentrai dans l’arène, la foule m’acclama, j’entendis les encouragements de mes amis ce qui me remonta le moral.
- Bien lâchez la bête et que le combat commence.
Une grande grille de fer s’ouvra pour faire apparaître deux yeux rouge sang.
Un grande bête noir sauta jusqu’au milieu de l’arène et hurla, ses poils noirs luisaient a la lueur du soleil, des piques semblaient sortir de sa queue et deux lames au bout de ses ailes sous développées menaçaient quiconque s’en approchait. La bête me repéra et chargea en ma direction, je sautais de côté esquivant de peu son attaque. Je repris mon équilibre et dégainait mon arme, je courus jusqu'à lui et abattit mon arme sur sa queue, le wyverne se retourna et me fouetta violement avec sa queue. Je me fis éjecter quelques mètres plus loin, mon armure minimisa les dégâts. La bête tenta de s’écraser sur moi, avec peine j’effectuai une roulade de côté. Je me relevai et repris l’assaut, je frappai frénétiquement les flans de la bête, elle s’énerva et ses yeux devinrent rouge sang. Elle commença à bouger très rapidement, je suivais ses mouvements avec peine, j’entrepris de lancer une bombe flash pour pouvoir poser un piège.
La bête s’arrêta après que la bombe ait diffusé la lumière, elle semblait perdue, et tournait en rond donnant de grands coups de gueule dans tous les sens. J’en profitais pour pose un piège électrique, généré par la neurotoxine des poches paralysantes des Genpreys les monstres restaient piégés quelques instants. Après avoir enfoncé le pieux du piège je courus jusqu'à hauteur de la bête et je continuai de frapper sans m’arrêter, la bête semblait avoir repris ses esprits et se retourna vivement vers moi, je lui abattis la lame de ma « dernière flamme gaélique » sur la gueule, je tranchais son œil gauche dans la longueur du visage. La bête m’envoya valser à l’autre bout de l’arène, elle semblait être plus en colère que jamais, ce n’était plus ses yeux qui était rouge mais aussi la peau qui l’entouraient, a chacun de ses mouvements une sorte de trace de néon rouge était visible derrière elle. Un cri strident me déchira les tympans. La peur m’envahit devant une telle vision d’horreur, des pics sortaient peu a peu de sa queue, ainsi que des lames encore plus grandes poussaient a l’extrémité des ses ailes. Elle se propulsa en ma direction, elle me chargeait quand tout d’un coup elle s’arrêta, elle émettait de petits cris étouffés par la douleur. Je vis alors qu’elle était arrivée dans le piège. J’en profitais pour préparer mon attaque favorite. Je concentrai l’énergie dans mon arme, lentement j’accumulais une grande énergie, je me décidais à l’envoyer sur le monstre. J’expulsais l’énergie vers le ciel, la bête se libéra du piège et repris sa charge. Je rangeais mon arme dans son fourreau et m’assis. La bête n’était plus qu’a quelques mètres de moi, un énorme éclair fendis le ciel et vint frapper le Nargaranga de plein fouet. Le wyverne retomba sur le côté et semblait au bord de la mort, elle ne bougeait que très peu. Je me rapprochai d’elle et m’apprêtai à l’achever, je regarder ses yeux, elle semblait me supplier de la laisser en vie. Je rangeai mon arme dans son fourreau et sortit une potion, je la donnai a la créature. Elle se releva et cria. Je cru qu’elle allait m’attaque mais elle m’effleura de son visage. Je retirai mon heaume et lui caressait la nuque, elle me lécha le visage. Je fis un signe au jury pour qu’ils ouvrent les grilles. Des gens huaient à tue-tête. Le Nargaranga hurla de plus belle, et le publique se tut de peur d’enrager la bête. Je décidais d’accompagner la bête jusqu’aux cellules pour les monstres. Là-bas le président du jury me félicita :
- Bravo, vous avez fais preuve de courage et de détermination, vous pouvez passer en quart de finales.
- Non.
- Mais il y a un prix au bout !
- NON, je ne tue pas par plaisir, ces bêtes doivent être relâchées.
- Mais sa nous ferait perdre des dizaines de milliers de zennies !
- Si vous ne le relâchez pas je le ferai. Désormais il n’y aura plus de concours de se genre, nous devons apprendre à vivre en communion avec les wyvernes, pas les chasser de leur territoire par plaisirs.
- Nous en reparlerons avec la chef du village.
- Très bien, mais je veux ce Nargaranga.
- QUOI ?
- Vous avez bien entendu ! Je vous l’achèterais, cette bête ne mérite pas d’être traitée ainsi.
- Vous allez devoir payez chère alors, pas moins de cinquante mille zennies.
- Bien, cinquante mille zennies alors.
- Marcher conclus.
Nous retournâmes jusqu’aux places du jury et le président s’excusa auprès des visiteurs :
- Chères spectateurs, chères chasseurs je suis navré de vous annoncer que le tournoi est temporairement interrompu, pour des raisons indépendantes de notre volonté.
Le public se leva et hurla de plus belle, des injures contre les organisateurs

La suite:

Je quittais l’arène pour rejoindre Mick, celui-ci me félicita et me posa plusieurs questions :
- Bravo ! Le Nargaranga n’est normalement pas un adversaire pour les rangs inférieurs à sept. Mais pourquoi a-t-on interrompu le tournoi ?
- J’ai obligé le président à le faire.
- Pourquoi donc ?
- Je n’apprécie pas que l’on maltraite ainsi ces bêtes alors qu’elle n’on rien fait.
- Je comprends, je ne m’oppose pas a se concoure, je risquerai de perdre mon travail.
- J’ai aussi acheté le Nargaranga.
- QUOI ?
- J’ai acheté le Nargaranga.
- Mais tu es fou ?
- Non, cette bête mérite de vivre calmement.
- Mpfff, une bête on ne s’en occupe pas comme sa, mais bon comme tu voudras.
- Je dois vous laisser, je vois Diane qui arrive.
- Oui… Vas-y….
Je courus pour rattraper Diane qui ne m’avait visiblement pas vu.
- Ha tu es la, je t’ai cherché partout. Bravo.
- Merci, il faut que je te dise…. J’ai acheté le Nargaranga et c’est grâce a moi que ce tournoi a été interrompu.
- Tu es fou ! Combien il a couté ?
- Juste cinquante mille.
- Ho, l’argent de tombe pas des arbres ! Tu va nous ruiner !
- Oui je sais, mais cette bête mérite de vivre normalement, si tu aurais croisé son regarde après que je lui aie envoyé cette attaque, il semblait me supplier, je n’ai pus résister.
- Haha, tu ne saurais résister devant un assassin qui te supplie de le sauver.
- Ce n’est pas pareil. Mais bon. Je dois aller parler avec la chef du village, j’ai une réunion importante, je veux que les tournois barbares cessent.
- Lonne, tu n’aura que des ennuis en faisant cela ! Les organisateurs du tournoi sont très influents au village !
- Calme toi, ce n’es pas la fin du monde tout de même.
- Peut-être, mais le village entier va nous tourner le dos !
Lorsque je m’aperçu de la tristesse de Diane, je la serai contre moi.
- Ce n’est pas grave, j’ai des amis a Kokoto, on pourra même acheter une maison après notre mariage.
Séchant les larmes qui coulaient sur son visage elle me sourit :
- Oui, mais comment va tu t’occuper de ce Nargaranga ?
- J’ai ma petite idée, je vais acheter un vaste terrain de la forêt de Gardemine, près de Kokoto et il pourra y vivre tranquillement.
- Nous n’avons pas assez d’argent !
- Oui, tu oublie que la Guilde ne nous a pas encore payé pour notre travail. Avec cette prime nous pourrons vivre sereinement dans une jolie maisonnette à l’orée des bois avec un petit ruisselet qui coule juste a côté.
- Ton rêve est tellement beau qu’il est dur d’y croire.
- Mais il se réalisera, je dois partir j’ai réunion.
- D’accords on se voit plus tard. Je t’attends chez moi, je veux te présenter mes parents
- Tes parents ? Heu oui d’accord….
- Sa te dérange ?
- Heu non, non. Bon on se voit se soir alors.
Je repartis a la guilde, devant la porte m’attendais le président du jury, la chef du village et le maître de la guilde.
Gêné par la présence de tous ses membres importants je saluais la chef du village et le maître de la guilde :
- Bien le bonjour !
- Lonne, quel plaisir viens entre dans ma guilde.
La vieille laissa échapper un soupir :
- Bonjour Lonne.
Nous rentrâmes dans la guilde, le vieil homme nous conduit dans la salle de réunion. Là-bas il relança le débat au sujet du concours:
- Bien, nous somme réunis pour parler de la voulue abolition du concours de chasse. Pourquoi donc veux-tu que ce tournoi cesse Lonne ?
- Je n’ai rien contre la chasse, je suis moi-même chasseur, mais ce tournoi barbare est entrain de faire disparaitre de plus en plus les wyvernes, bientôt nous ne verrons plus de Rathalos ou de Monoblos, ces bêtes son maltraitées alors qu’elles n’ont rien fait de mal.
L’organisateur du tournoi me répondit :
- Peut-être mais ce n’ai pas une raison pour stopper le tournoi, ces bêtes ont étés capturées par des chasseurs, si nous les libérons nous perdrons de l’argent, d’autant plus que si les bêtes ne sont pas toujours tuées, si elles sont gravement blessées nous les soignons, elles sont nourries et logées. Et les monstres ne sont ils pas dangereux pour le village ? En les tuants nous ne faisons que protéger le village.
- Protéger ? Si les bêtes s’approchent trop du village nous sommes en droit des les abattre mais pas si elles suivent le cours de la vie tranquillement.
- Et cela vous pose un problème !
Le maître de la guilde intervint alors :
- Taisez-vous ! Monsieur l’organisateur veuillez sortir, attendez moi dehors.
Celui-ci acquiesça et sortit.
- Lonne il ne va sans dire que le président et organisateur du tournoi est très influant dans notre village, je ne peux me permettre d’accéder a ta requête.
- Mais ce tournoi…. Je vois ce qui conte dans ce village c’est l’argent.
- Non mais… Tu comprendras plus tard surement. Bien monsieur l’organisateur vous pouvez entrer !
- Oui ?
- Alors nous sommes parvenue a un accords avec monsieur Lonne ici présent, le tournoi peut donc poursuivre son cours.
La chef du village repris :
- J’ai une proposition moi-même, si Lonne gagne le concours, celui-ci sera le dernier à être organisé dans mon village.
- Mhhh, vous me mettez entre le marteau et l’enclume mais j’accepte.
- Bien étant parvenue a un accord convenable, moi le maître de la guilde déclare ce conflit terminé.
Nous sortîmes les uns après les autres. Dehors Diane m’attendait, elle s’avança vers moi et me demanda :
- Alors que va-t-il se passer ?
- Si je gagne se tournoi ce sera le dernier en revanche si je perds celui-ci ne sera surement pas le dernier.
- Alors tu ‘es pas sorti de l’auberge. Tu n’as pas oublié que se soir nous dinons avec mes parents ?
- Heu non non…. Il faut que j’aille m’habiller et prendre un bain.
- Alors ce soir huit heures devant chez toi je passe te chercher, ils habitent un peu plus loin.
Je rentrai chez moi pour me laver et enfiler mon plus beau costume, ne trouvant pas mes habits j’appelai Strum et Kayl :
- Strum, Kayl venez ici.
Je vis la petite tête de Strum dépasser de l’entrouverture de la porte de la cuisine :
- Oui ?
- Avez-vous vu mes habits ? Je les avais préparés et posés sur ma chaise.
Le félin rentra la tête et ouvrit la porte totalement, il tenait des pièces de vêtements.
- Tenez maître, vous ne comptiez pas allez a cette soirée habillé comme un paysan après le labourage des champs, nya ? J’ai acheté des nouveaux vêtements, tenez enfilez les donc.
- Merci, il est vrai que je ne prends pas vraiment le temps pour m’occuper de moi. Je pris rapidement un bain et je mis les habits que mon Felyne me passait, ils étaient soyeux et doux. Je me sentis comme un prince dans ce magnifique costume.
- Nya vous êtes prêt monsieur ?
- Oui, merci. Bon je dois me presser d’aller rejoindre Diane ou elle va me crier dessus.
- Bonne chance.
J’allais sortir quand Kayl m’arrêta et me tendis un présent.
- Tenez, vous n’allez pas arriver là-bas les mains vides.
- Qu’est ce que c’est ?
- Un vase en porcelaine pour la maman et le papa de Diane nya.
- Ho oui un cadeau c’est vrai, mais ou ai-je la tête ces temps si !
- Sur la lune….
- Bon je dois vraiment y aller au revoir, en faite pas de bêtises en attendant que je revienne. Il y a deux sushi poisson sur la table, ils sont pour vous.
Je sortis et me dépêchai de rejoindre Diane, lorsque je fus enfin devant la maison de ses parents quand elle m’interpella discrètement :
- Lonne ! Viens vite ici, je dois te parler.
J’accourus la rejoindre, elle me dit alors :
- Bon, il faut que tu comprennes que mes parents sont très sérieux, il ne faut pas gaffer sur ce coup. Ils ne comprennent pas que nous soions chasseurs, dis leur que nous allons bientôt arrêter pour nous installer dans un de tes terrains.

Voila, j'écris plus trop alors laissez le temps au temps

Oula c'est long j'ai pas eu le temps de tout finir je lirai ça demain ou quand j'aurai du temps

Mdr bonne chance, 1 jour pour me relire xd.

ouais parce que moi avec les devoirs j'ai pas le temps

Moi je les fait pas mes devoirs xd.

ouais et toi t'as pas t'es deux parent prof de maths hein

j'ai vraiment bien aimé ton histoire bon rythme et le héros est attachant. d'un côté c'est un chuck norise blam dans ta geul et d'un côté il à un certaine sensibilité
Par contre la phase avec diane est un peux téléphoner et j'ai bien aimé la phase avec la bête qui ne veux tuer

Mdr Chuck norris! La phrase avec Diane?

phase avec diane quand il va la sauvé dans la grotte. Personnellement j'aurrais fait croire au lectere qu'elle était mort genre il retrouve un cadavre ou l'endroit ou elle est tombé est un goufre sans fond et quelque chose de se type que même leonne crois qu'elle est mort voir un phase ou il abendonne

Mdr oui mais un corps sa devient pas un squelette en 2 jours, au pire c'est vrai que si un charognard tournait au tour d'un cadavre défiguré sa serait pas plus mal

Sinon la suite c'est pour quand j'attens toujours moi , tu peux pas laissez l'histoire comme ça j'ai trop envi de savoir qu'est ce qui va se passé

Quand j'aurais le temps mdr, j'entre en vac's mardi après midi ^^.

J'ai beaucoup aimais ton histoire dommage que n'ai pas continué à nous la livrée.
Cordialement
Lestat

(que tu n'ai pas)*

je vais peut être continuer mais pas tout de suite..

depuis le temps que je te dis de nous finir l'histoire la je crois que t'aurai meme pu en écrire 3 ou 4 depuis la deniere fois ou je t'ai demendé de finir c'elle la

J'ai pas trop le temps, avec les sorties avec mes amis, les cours, le jeux et tout le reste j'ai pas trop envie d'écrire.